Nous rêvons tous, sans exception. Mais pourquoi rêvons-nous ? A quoi est-ce que ça nous sert de nous réveiller avec le souvenir de choses que nous n’avons pas vécues ? Ces questions ne datent pas d’hier et les réponses sont aussi nombreuses que diversifiées. Pour en savoir davantage sur ce qui pousse notre cerveau à se laisser bercer par les songes, faisons le tour des hypothèses les plus souvent citées.
Nous rêvons pour entretenir notre mémoire.
En 1966, Howard Roftwarg, Joseph Muzio et William Dement, trois scientifiques, révèlent que le sommeil paradoxal (période du sommeil au cours de la quelle on rêve) contribuerait à la maturation du système nerveux.
Une étude réalisée sur des rats de laboratoire ont montré que les animaux privés de sommeil paradoxal avaient beaucoup de mal à retrouver la sortie du labyrinthe traversé la veille. Contrairement aux autres.
Mais, chez l’homme, rien de tel n’a encore pu être prouvé.
Nous rêvons pour nous détendre.
Les rêves permettraient de se débarrasser des millions d’informations parasites accumulées après une journée d’éveil.
Ainsi, notre cerveau pourrait enfin relâcher la pression et faire le tri entre ce qui est essentiel et ce qui ne l’est pas.
Le premier à avoir élaboré cette théorie est l’Allemand Robert en 1886. Mais elle est toujours très discutée.
Nous rêvons pour rester en alerte.
Au cours de notre sommeil, la partie motrice du cerveau est tout à fait au repos. Le rêve permettrait alors de maintenir l’entretien des réseaux nerveux. Pour réagir en cas de danger par exemple.
Une hypothèse qui expliquerait pourquoi tous les mammifères et tous les oiseaux connaîtraient la même phase de sommeil paradoxal que nous.
Nous rêvons pour connaître l’avenir.
Ce n’est pas la théorie la plus sérieuse, ni la plus scientifique. Pourtant, c’est la plus ancienne et la plus répandue. Toutes les civilisation ont un jour ou l’autre vu de la prémonition dans les rêves. Et aujourd’hui encore…
Alors, pourquoi rêvons-nous ? Si les scientifiques lèvent peu à peu le voile sur cette question mystérieuse et entêtante, ils n’ont pas encore tout découvert. Ce qui laisse pour le moins songeur !
Quoi qu’il en soit, quitte à faire des rêves, autant en faire de jolis. Et, pour ça, l’idéal reste encore de se plonger dans l’environnement qui vous conviendra le mieux. Grâce, par exemple, à une tête de lit sur mesure et 100% personnalisée !